Dorcha PNj de CAVAN
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Dorcha PNj de CAVAN
Dorcha
« Il sent meilleur, est plus confortable, et à plus de conversation que mon ex-mari. Et en plus, il ne ronfle pas, lui! ».
C’est par ces mots que Deirdre décrit parfois son ours (ie : quand elle ne se contente pas d’un regard noir qui fais retourner l’impudent d’où il vient), lorsque quelqu’un lui demande pourquoi elle dort parfois entre ses pattes.
Dorcha est un ours noir placide, bien dressé, exécutant de bonne grâce les quelques tours que sa masse corporelle lui permet de réaliser. Sa stature est imposante, même pour un ours, mais surtout due à la vie sédentaire qu’il mène.
D’une maladresse parfois comique, presque exagérée, d’un embonpoint qui peut paraitre bonhomme, il est cependant de notoriété publique qu’il vaut mieux ne pas s’en prendre à la troupe sous ses yeux, sous peine de réveiller ses instincts sauvages sous la forme d’une colère explosive dont seule Deirdre ou le meurtre de l’offenseur semblent capables de le sortir.
Les voleurs de Labadeesha ont appris à le reconnaître, et surtout à connaître la vitesse trompeusement pesante qu’il acquiert lorsqu’il se met a quatre pattes, la garde ayant dû parfois intervenir pour descendre quelques-uns de leurs collègues des enseignes sur lesquelles ils avaient du grimper pour échapper à son ire.
« Il sent meilleur, est plus confortable, et à plus de conversation que mon ex-mari. Et en plus, il ne ronfle pas, lui! ».
C’est par ces mots que Deirdre décrit parfois son ours (ie : quand elle ne se contente pas d’un regard noir qui fais retourner l’impudent d’où il vient), lorsque quelqu’un lui demande pourquoi elle dort parfois entre ses pattes.
Dorcha est un ours noir placide, bien dressé, exécutant de bonne grâce les quelques tours que sa masse corporelle lui permet de réaliser. Sa stature est imposante, même pour un ours, mais surtout due à la vie sédentaire qu’il mène.
D’une maladresse parfois comique, presque exagérée, d’un embonpoint qui peut paraitre bonhomme, il est cependant de notoriété publique qu’il vaut mieux ne pas s’en prendre à la troupe sous ses yeux, sous peine de réveiller ses instincts sauvages sous la forme d’une colère explosive dont seule Deirdre ou le meurtre de l’offenseur semblent capables de le sortir.
Les voleurs de Labadeesha ont appris à le reconnaître, et surtout à connaître la vitesse trompeusement pesante qu’il acquiert lorsqu’il se met a quatre pattes, la garde ayant dû parfois intervenir pour descendre quelques-uns de leurs collègues des enseignes sur lesquelles ils avaient du grimper pour échapper à son ire.
OSA- Admin
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